« Nos écosystème s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction massive, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent et de contes de féées sur la croissance économique éternelle » (Climate Action Summit 2019 – Greta Tumberg). C’est avec cette déclaration tonitruante que démarre ce documentaire qui décrypte une alarme climatique qui n’est qu’une vaste arnaque financière, sans aucun fondement scientifique. Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. 

La création d’un consensus

Les différents aspects du changement climatique sont abordés un par un, en commençant par la science du changement climatique, l’alternance des périodes chaudes et froides dans l’histoire de la Terre, l’influence du dioxyde de carbone (CO2) et d’autres facteurs (l’activité solaire, la couverture nuageuse, etc.) sur les températures, la corruption politique de la recherche scientifique par le biais du contrôle gouvernemental sur les fonds attribués aux scientifiques, l’intimidation qui a conduit à l’établissement d’un « consensus » sur le changement climatique.

Le film montre surtout que les études classiques et les données officielles ne confirment pas l'affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes, ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt, et tout le reste. 

Elles réfutent catégoriquement l'affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO2 dans l'atmosphère sont anormalement élevés et inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d'années de l'histoire de la Terre, les températures et les niveaux de CO2 actuels sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. L'étude montre également qu'il n'existe aucune preuve que l'évolution des niveaux de CO2 (qui ont changé à de nombreuses reprises) ait jamais été à l'origine d'un changement climatique dans le passé. 

Mais, des centaines de milliers d’emplois dépendent aujourd’hui de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social.

Une perte massive de libertés

L’alarme climatique - cause devenue morale - est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi. Le film explore aussi la politique du climat. Depuis le début, la peur climatique est politique. Le coupable est le capitalisme industriel de libre marché. La solution ? Des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important.

Il est possible qu’en regardant ce film, un spectateur ne soit pas d’accord. Quelqu’un pourrait être sceptique par rapport à l’argument que les relevés de température cités par les alarmistes souffrent d’importantes distorsions. Un autre ne serait peut-être pas prêt à admettre que le gouvernement a joué un rôle important dans la réquisition de la recherche scientifique, à mesure que la soi-disant « science établie » ne représente rien d’autre que de la propagande gouvernementale.

Toutefois, un spectateur sincèrement préoccupé par le bien-être de l’humanité devrait réfléchir à l’argument que le soi-disant « remède » des alarmistes climatiques implique une perte massive de nos libertés individuelles. 

Et puis surtout, Martin Durkin, le réalisateur britannique, fait à tout le moins l’exercice de guérir les jeunes spectateurs de l’anxiété inutile que des millions d’entre eux ressentent apparemment après avoir été soumis à la propagande alarmiste dans leurs établissements éducatifs respectifs.

80 minutes à voir absolument !

NDLR : Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.