L’intelligence artificielle ChatGPT n’arrête pas de faire parler d’elle depuis sa sortie en novembre dernier. Créé par la société californienne OpenAI, le robot conversationnel fonctionne sur la base d’algorithmes et d’immenses bases de données. Il peut ainsi produire des textes incroyablement structurés et des réponses élabores à des questions sur simple requête. Après un sénateur américain qui dépose un projet de loi rédigé par l’IA et un parlementaire bruxellois utilise ChatGPT pour rédiger une question parlementaire, c’est une première qui a fait sensation dans le monde judiciaire. ChatGPT a participé à la prise de décision d’un tribunal colombien. Le juge colombien Juan Manuel Padilla expliqué à la presse locale s’être appuyé sur les réponses fournies par le chatbot pour trancher dans un dossier à l’aide de la jurisprudence encodée dans l’outil. La transition vers une justice robotisée est-elle souhaitable ? Peut-on faire confiance à une IA ? On fait le point.
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