Quand un traité belgo-iranien accorde l’impunité au fascisme religieux des mollahs

Le couperet de la machine à voter est tombé. Les députés ont ratifié, mercredi 20 juillet, un traité belgo-iranien sur le transfert des condamnés, vivement critiqué par les opposants iraniens en exil en Europe, qui y voient la porte ouverte à la remise à Téhéran de détenus iraniens, jugés en Belgique et condamnés pour crimes terroristes. Le Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI) condamne fermement l’adoption de cet accord qu’elle qualifie d’honteux. « Il est incompréhensible que la Belgique devienne ainsi le point faible de l'Europe dans la lutte internationale contre le terrorisme », estime Maryam Rajavi, sa présidente. Des avocats, des associations de défense des droits humains, certains députés de la coalition gouvernementale, mais aussi une partie de la communauté internationale, ont tenté de s’y opposer, soulignant que le texte est une violation manifeste de la résolution 1373 du Conseil de sécurité de l’ONU. Ils ont invité à « ne pas céder au chantage iranien » en échange de la libération éventuelle d’otages, mais sans succès.
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