Les plus fins limiers d’entre vous l’auront compris : le « noircissement d’argent » n’est pas une réaction chimique, mais une tendance inverse au « blanchiment ». Le principe ? Dissimuler la destination à des fins terroristes de fonds « propres » de façon à que les sommes ne puissent pas être retracées par rapport à l’entreprise ou l’institution qui les a injectées. Une tendance de plus en plus répandue et qui s’inscrit dans une nouvelle vague : le terrorisme low-cost. Aujourd’hui, comme nous l’écrivions il y a peu, il est en effet inutile pour ces fauteurs de trouble terroristes de s’équiper de matériel de guerre, chars d’assaut et avions de chasse : un couteau suffit à semer la panique et distiller ce sentiment de terreur. Un terrorisme aussi cynique que raisonné qui fait appel à de nouveaux moyens de financement. Les cagnottes, les prêts à la consommation, les allocations de chômage, le soutien familial et les fonds publics ont le vent en poupe. Explications.
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