Le dossier, bouclé au Parlement européen fin 2022, ne devait plus passer que cette petite étape de procédure. Mais, après l'Italie de Giorgia Meloni, c'est au tour de l'Allemagne et de sa coalition au pouvoir de dire non à la fin du moteur thermique en Europe. Proposé par la commission en juillet 2021, les 27 États membres devaient officiellement entériner le texte, âprement négocié, ce mardi 7 mars. Les deux pays, patries des écuries Volkswagen, Fiat et Ferrari, poursuivent le combat contre un projet qui « ne protège toujours pas assez les constructeurs, leur savoir-faire technologique et l’emploi ». Le conflit sur la combustion se poursuit. Et le vote est reporté sine die.
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