La prolongation des centrales nucléaire belges est un début de retour à la réalité. Ce revirement qui est un échec des écologistes de tous les bords, doit à présent ouvrir un avenir de fierté pour l’électricité du futur. Les espions est-Allemands pour ne pas laisser l’URSS se distancer du point de vue économique, étaient parvenus à convaincre la population allemande du danger de l’énergie nucléaire. Puisque la plus grande économie européenne ne pouvait se passer d’électricité, ils ont inventé l’utopie des énergies renouvelables pour remplacer « l’énergie scientifique ». Étant donné la domination allemande sur les institutions européennes, l’UE a suivi aveuglement l’ostracisme envers l’électricité nucléaire et a promu les éoliennes et les panneaux solaires. Après avoir dépensé des milliards d’euros, avoir imposé des législations contraignantes durant des décennies, celles-ci ne représentent que 3% de la demande d’énergie primaire de l’UE. Sans un retour déterminé à la fierté nucléaire, l’UE ne participera pas aux développement extraordinaires de l’énergie nucléaire dans le monde. La Belgique va-t-elle poursuivre les erreurs allemandes ou bien s’engager dans le nucléaire de quatrième génération comme le font les Chinois, les Russes, les Coréens, les États-Uniens et les Canadiens ?
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