Avant que ne survienne la pandémie mondiale qui paralysa une énorme partie des mouvements sociaux au sein des Etats-membres, il était un rendez-vous que la jeunesse belge ne manquait sous aucun prétexte : les marches pour le climat. Véritable déferlement de bons sentiments en plein cœur de Bruxelles, ces marches avaient pour but de demander de la part des gouvernements, tant nationaux qu’européens, des mesures concrètes en faveur du climat. Un vœu pieux qui n’a pas (et ce n’est pas surprenant) conduit à de grandes réformes. Entre volonté de sécher les cours, incohérences idéologiques et véritable mal-être, retour sur un cuisant échec et analyse. En lame de fond aussi, notre « Greta Thunberg nationale » (sic) : Adélaïde Charlier, qui se voulait Cassandre et ne semble être qu’Arlequin. Ces militants et militantes médiatisées soit ne se rendent pas compte qu’on les prend pour des truites, soit semblent s’en accommoder (et dans quel but ?). A l’évidence, le militantisme bat de l’aile et l’écologisme politique gagne du terrain …
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