Le Daily Telegraph feuilletonne en publiant des milliers de messages WhatsApp mettant directement en cause Boris Johnson et l’ancien ministre de la Santé, Matt Hancock. Que retenir de ces échanges ? Ils suggèrent un plan pour effrayer en pleine pandémie. Ils confirment surtout que si les gouvernements sermonnaient à longueur de journées les populations pour qu’elles s’en remettent aveuglément à la science - avec des « experts » faisant feu de tous bois sur la scène médiatique - la science elle-même n’était qu’un paravent commode pour légitimer les actions d’une classe politique en totale roue libre qui a choisi l’autoritarisme et la propagande par la peur. Et pour n’être responsable de rien, tout a été mis sur une frange résiduelle de la population, en alimentant un esprit nauséabond de camps. Il y a là matière à s’interroger sur les motivations de cette psychose covidienne, avec en point d’orgue une contrainte vaccinale, la mesure liberticide de trop. Les « Lockdown files » jettent à l’évidence une lumière crue sur la gestion du Covid-19. Il est urgent que la virulence des alarmistes devienne asymptomatique, excuses à l’appui, et que la crise structurelle des soins de santé, elle effective depuis plus de dix ans, soit prise à bras le corps ! Notre résilience post-covid ? Sortir de la dystopie du désastre.
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