Geneviève Lhermitte euthanasiée : le suicide « altruiste » est une souffrance psychique

Le 28 février 2007, Geneviève Lhermitte égorge ses cinq enfants, Yasmine (14 ans), Nora (12 ans), Myriam (9 ans), Mina (7 ans) et Mehdi (3 ans), dans la maison familiale de Nivelles où elle vit avec son mari Bouchaïb Moqadem et le docteur Michel Schaar. Seize ans après le drame, la Nivelloise a été euthanasiée. Elle aurait poussé son dernier soupir ce mardi 28 février, à l'âge de 56 ans, à l'hôpital Léonard de Vinco sur le site de Vésale, à Montigny-le-Tilleul. Les raisons de son euthanasie pourraient être liées à une souffrance psychique irréversible. Comment une mère peut-elle donner la vie et la reprendre aura été LA question centrale lors son procès. La thèse de suicide « altruiste » est présentée par les experts psychiatres. Mais, les 1900 pages du dossier d’instruction n’aideront pas la mère infanticide à justifier son acte. Reconnue coupable, elle est condamnée à la prison à vie. Comment une mère peut-elle aimer à en perdre la raison ? Pourquoi cette perte de discernement ? Explications.
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