Alexander De Croo ne veut pas « surcharger la barque » de l’écologisme, car elle risque de faire naufrage. La lutte contre les émissions de CO₂ est une utopie et il est grand temps que les politiques aient le courage de le dire s’ils ne veulent pas être naufragés par la colère populaire lors des prochaines élections européennes. « Le premier à dire la vérité doit être exécuté », chantait Guy Beart. D’autant plus s’il est Premier ministre. Les « écolos de tous les partis » se sont rebellés contre Alexander De Croo parce qu’il a osé dire qu’il fallait faire une pause dans la course effrénée au Green Deal. Plus précisément, dans une interview accordée à VRT News, dans le parc situé en face de son bureau de Premier ministre, a demandé un moratoire sur l’introduction de la législation européenne en matière de protection de la nature. Il s’est fait l’écho des opinions exprimées à ce sujet par le président français Emmanuel Macron et la ministre flamande de l’Environnement Zuhal Demir. Il faut mettre fin à cette mascarade. L’inutilité de la décarbonation est évidente ! Sauver la planète, ce n’est pas détruire la société.
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