Tout avait commencé par « le suicide » en Transylvanie d’Andriy Mykoulyne, un honorable correspondant de la DGSE depuis plus de vingt ans, et la disparition d’informations qu’il devait livrer à son officier traitant concernant un complot ourdi par les Russes contre la France. Les services secrets russes ont réussi à dérober discrètement un lot de missiles antiaériens fournis par la France à l’Ukraine. Leur but : les faire parvenir dans les mains d’un groupe islamiste pour que ce dernier détruise des avions français et paralyse des aéroports. Punir ainsi la France de son soutien à l'Ukraine. Telle est la mission assignée par Poutine à ses services de sécurité et orchestrée par la générale Olga Ranevskaïa, cheffe du bureau des mykrye dela - littéralement : « opérations mouillées », des opérations noires du Kremlin, auprès du prezident Poutine. Dans ce cas, il ne s’agissait pas d’une mission secrète classique mais bien d’un acte de guerre à l’encontre d’une nation dotée de l’arme nucléaire. Car la vengeance du maître du Kremlin se mange toujours « glacée ».
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