Jeudi dernier, Belfius organisait une grand-messe sur l’IA sous le nom de code « BAM the Sound of AI disruption » au palais 7 du Heysel. 

Pour s’y rendre, ceci impliquait de passer devant le palais 12 (ING Arena), salle de spectacle de la ville de Bruxelles, qui visiblement prend du plaisir à concurrencer les salles privées avec l’argent du citoyens (et les sponsors hollandais !) pour y organiser des combats de kickboxing, des concerts, des soirées dansantes et autres « attrape-voix » ... Panem et circenses !

Un vrai contraste pour les 700 invités de Belfius qui ont eu la chance d’écouter un panel de « gamechangers» et de pionniers du monde de l’IA tel que Arthur Mensch (Mistral AI), Jean-Charles Samuelian (Alan) et le passionnant et inspirant Peter Hinssen (dont on parle beaucoup de son musée « Apple Chapel). N’hésitez pas à Googler ces noms, c’est déjà aujourd’hui le monde demain !

Cet article est réservé aux abonnés

Lisez votre journal numérique et accédez à tous nos articles réservés aux abonnés.

A PARTIR DE 6€/MOIS

Sans engagement.

Abonnez-vous

Déjà abonné ? Connectez-vous

Grâce également à une mise en scène féérique, les invités ont pu réaliser à quel point l’IA peut être un outil remarquable et indispensable… mais aussi dangereux lorsqu’il est utilisé à mauvais escient.

Belfius a voulu prouver qu’après avoir créé la meilleure application bancaire au monde (étude de Sia Partner) elle sera une des meilleures banques au monde à maîtriser l’IA.

Les débats se sont clôturés par les interventions d’Olivier Onclin, Dirk Gyselinck et du charismatique CEO, Marc Raisière qui en dernière minute a déchiré son speech prévu pour l’adapter à ce qu’il venait d’entendre.

En résumé le match sur le plateau du Heysel s’est terminé sur le score sans appel de Belgique (Belfius) 1 - Hollande (ING) 0 !