L’histoire s’accélère, l’Europe « verte » s’enfonce dans la stagnation sur le mode autoritaire et impérieux de la Commission européenne ; trois pays parviennent encore à se distinguer du reste de l’Europe : France, Belgique, Allemagne. En pire.
1. La France
Face à sa dette galopante, la France fait le choix de la fuite en avant : plus rien ne distingue l’Assemblée nationale d’un Comité de salut public dont l’objet et la raison d’être est de punir les Français par toutes sortes de nouvelles taxes et d’augmentations d’impôts. Toute personne physique ou morale qui parvenait à échapper, bon an mal an, au pire de l’impôt français y est désormais ramené par le moyens de mille réglementations ad hoc qui font injure au règne du droit. Depuis quarante ans, la France fossoie sa dette, tout en augmentant les impôts pour soi-disant combler la dette. Après 40 ans, un enfant s’interrogerait sur le bien-fondé d’un procédé qui ne livre pas tous les résultats espérés. Pas l’Assemblée nationale, ce composite exquis d’extrémistes de gauche, d’une gauche spoliatrice, d’une droite débile et d’une extrême droite qui ne jure que par l’augmentation de la dépense publique. Face à cette allégresse dans la prédation fiscale, il faut s’attendre à une stabilisation temporaire non pas de la dette, mais de l’augmentation de la dette. Avant que la courbe ne se jette dans la danse frénétique d’une asymptote. S’exileront les Français qui le peuvent vers le Luxembourg, la Belgique et ailleurs. La France mange ses enfants.
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2. La Belgique
Même s’il reste, au Parlement belge, deux ou trois députés qui ne sont pas partisans de monter l’impôt à 100%, on n’est pas sûr de recommander aux expats français la Belgique. En effet, la situation de la dette belge est à quelques virgules près identique à celle de la France : grotesque, pré-grecque et sans issue réelle. Encore la situation belge se complique-t-elle d’un système constitutionnel moribond et bloqué. En effet, le système belge est proportionnel au carré : s’ébrouent une multitude de partis du côté francophone, et autant de partis du côté flamand. Tous ces gens doivent s’entendre pour construire une majorité fédérale. De plus, en Belgique comme en France et Allemagne le centre-droit refuse de gouverner avec la droite. Ce qui signifie que même lorsque la population vote à droite, il faut inclure à la majorité fédérale des partis de gauche voire d’extrême-gauche. Lesquels font chanter tous les autres. C’est le cas aujourd’hui du peu inspirant parti socialiste flamand VOORUIT, avec lequel le centre-droit tente de construire une majorité fédérale, dans le même temps que ce parti se dit par ailleurs disposé à gouverner avec des communistes et des islamistes. . . Le système belge est bloqué, à mort. Aucun des tous petits formats qui composent le politique belge ne semble capable d’extraire du magma parlementaire, une majorité. Or, la Belgique est à six mois d’une faillite à la grecque.
3. L’Allemagne
Les Allemands sont sérieux, fiables, rigoureux, entreprenants, ils sont saturés de toutes sortes de qualité. Mais ils sont aussi bêtes, mais alors bêtes ! Probablement l’un des peuples les plus crétins d’Europe ; des sous-développés du lobe frontal ; d’authentiques nécessiteux de la cellule grise. Churchill disait : « les Allemands sont de formidables planificateurs mais cul-nu quand le réel ne se conforme pas au plan ! ». Jusqu’au dernier jour de la guerre, en 1945, des avortons en uniforme échafaudaient toutes sortes de plans fumeux dans les tréfonds du bunker de la chancellerie. Le plan actuel du Teuton, c’est la société Zéro carbone. Interdire tout ce qui bouge, taxer le reste, par conséquent détruire leur propre industrie, et tout cela sur des airs de moralité supérieure : c’est le Master-Plan des Germains au XXIème siècle. Et, par le truchement de von der Leyen et du premier parti du premier groupe politique au Parlement européen, c’est le même sectarisme délirant que les Allemands infligent à l’ensemble de l’Europe. Que le plan ne fonctionne pas, et que même si l’Europe cessait d’exister, cela ne changerait rien au « climat »,
peu importe : Fritz ira jusqu’au bout, c’est même à cela qu’on le reconnaît. Le plus beau étant que cet âne bâté, balourd, benêt, butor, ce demeuré, idiot, ignorant, cet innocent, ce lourdaud, maladroit, niais, nigaud, ce rustre donc s’imagine que l’exemplaire démocratie allemande, dont il est si fier, survivra à l’effondrement économique de l’Allemagne. Fritz devrait rouvrir un livre d’histoire, qui ne commence pas en 1933 : avant, il y a la République de Weimar. Dont l’effondrement économique servit de tremplin cosmique au pouvoir absolu délirant, en somme si allemand, d’un Germain typique.
France, Belgique, Allemagne : trois pays au bord du gouffre, dont l’affaissement emporterait l’Europe dans les sables du désespoir.