C’est promis, les communicants politiques s’engagent à apaiser leurs propos. Parole de communicant ! C’est tout dire. Ils viennent de signer à Kinshasa un code de bonne conduite. Cela débute par des lieux communs exprimés par des seconds couteaux appelés à essaimer, histoire d’infiltrer les partis politiques. Leur rencontre avait été organisée par une ONG locale, la DYPOL (Dynamique des politologues), groupuscule qui ambitionne de développer le « monitoring du débat politique en RDC, visant à contrer la cyberviolence et à promouvoir un débat démocratique sain ».
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