Soucieux de faire prévaloir les intérêts de son Barreau (et quelque part les siens propres ?), le Bâtonnier Plasschaert, semble avoir pris un malin plaisir à malmener l’AG de l’OBFG – c’est-à-dire les Bâtonniers de tous les Barreaux francophones et germanophone du pays – au cours des deux années de son mandat.
La raison du plus fort (contributeur) avait déjà emporté l’an dernier l’injuste sacrifice de Me Quentin REY, non renouvelé comme administrateur en dépit de ses indiscutables mérites, afin de laisser la place à…, à qui ?... à Marc FYON (semble-t-il bientôt pensionné). Et voilà que cette raison du plus fort vient de triompher à nouveau. Le « dictateur » a convaincu les anciens Bâtonniers BOONEN et FORGES, l’un de ne pas se présenter, l’autre de renoncer à sa candidature pour laisser la place à un candidat plus servile…
Qui ? Mais le même Marc FYON, pardi ! Ce « même pas ancien Bâtonnier » risque de devenir le vice-président de l’OBFG… avec le risque qu’il ne lui conserve pas sa mission et sa structure actuelles.
Ah cette alliance Bruxelles / Liège auquel aucun des autres Barreaux n’osera s’opposer (et pourtant Albert CAMUS avait souligné que la qualité principale de l’homme doit être le COURAGE qui devrait les inciter lors de l’Assemblée des anciens Bâtonniers à l’OBFG à se poser des questions ou d’en poser et d’apprécier la situation.)
Une fois de plus le « Conseil de l’Ordre » de Bruxelles n’a même pas débattu des mérites et opportunités des candidats. Normal ?