Des scientifiques black-listés

Des scientifiques renommés, anciens prix Nobel, médecins, chercheurs, professeurs d’université, véritables lanceurs d’alertes sur les ravages des lockdown inutiles, l’absence de prise en charge appropriée par des médicaments peu coûteux, efficaces et disponibles ou encore la dangerosité des vaccins en phase expérimentale étaient systématiquement censurés, moqués et réduits au qualificatif déshonorant de « complotistes ». Ces scientifiques d’expérience sont aussi  factcheckés par de jeunes journalistes tout juste sorti de leurs études où on leur a enseigné un peu plus que rien sur à peu près tout. C’est dire… 

Follow the money

Comment en est-on arrivé là ? Comme le rappelle l’adage bien connu : « Follow the money ». Depuis des années Bill Gates, principal promoteur de la politique vaccinale au niveau mondial au travers de la Bill et Melinda Gates Fondation, arrose les médias, les écoles de journalisme et les associations de journalistes d’une manne providentielle ! Plus de 300 millions de dollars distribués ces dernières années Quelques exemples des largesses officielles de Bill et son (ex) épouse rien qu’en Europe  :

Le Guardian - 12.951.391 $
Der Speigel - 5.437.294 $
Le Monde - 4.014.512 $
El Pais -  3.968.184 $     
BBC - 3.668.657 $  
Daily Telegraph - 3.446.801 $ 
Financial Times – 2.309.845 $
European Journalism Centre – 20.060.048 $

(Source : Database des dons de la Fondation Gates)    

Autre exemple, aux Etats-Unis, l’International Center For Journalism,  une des organisations qui structure  le fact-checking sur le Covid et les vaccins, est financée, entre autres, par… Pfizer. Cela ne s’invente pas. Mieux encore, le président de Reuters, la principale agence de presse au monde avec l’AFP, James C Smith, siège quant à lui au conseil d’administration de Pfizer, dont il est également actionnaire. C’est comme cela qu’on anesthésie délibérément les médias.  Au détriment de notre santé et du bien public !

Et Pan sur le bec !