
Le non-sens écologique de jeter des voitures encore utilisables
L'écologie, c'est avant tout une question de durabilité. Alors, pourquoi Bruxelles encourage-t-elle le gaspillage en poussant les citoyens à se débarrasser de voitures parfaitement fonctionnelles ? Des véhicules qui pourraient servir pendant des années sont maintenant voués au mieux à l’exportation, au pire à la casse. Où est la logique écologique dans cette démarche ? La durabilité ne consiste-t-elle pas à maximiser l'utilisation des ressources plutôt qu'à les gaspiller ? C'est comme jeter un livre après avoir lu le premier chapitre. Un gaspillage pur et simple. Même les petits rouleurs, ceux dont l’impact est parfaitement négligeable, sont condamnés ! L'industrie automobile a fait d'énormes progrès ces dernières années : les voitures modernes sont plus propres, plus efficaces et mieux conçues que jamais. En choisissant d'ignorer ces avancées, Bruxelles tourne le dos à l'innovation et au progrès.
Aliéner les Bruxellois : une stratégie pour l'avenir ?
En voulant vider Bruxelles de ses voitures, la ville risque très fort d’éloigner les Bruxellois de leur propre ville. Les familles qui ont des obligations en dehors de la ville, les travailleurs qui dépendent de leur voiture pour leur métier, tous sont pénalisés. Cette interdiction est une barrière, empêchant les résidents d'accéder librement à leur propre ville. Nous voilà donc revenus au temps du checkpoint Charlie !
L'élitisme rampant derrière cette interdiction
Derrière le voile vert de cette politique se cache un élitisme flagrant. Les plus fortunés, capables d'acheter les derniers modèles électriques, sont célébrés, tandis que le citoyen moyen est marginalisé, voire ruiné : en effet, que vaudra encore sa voiture si elle est interdite d’accès dans la plus grande ville du pays ? Cette politique crée une division nette entre ceux qui peuvent se permettre de suivre les nouvelles règles et ceux qui sont laissés pour compte. Est-ce vraiment la vision d'une société égalitaire que veulent promouvoir les partis au gouvernement ?
Un danger pour l’économie ?
Cette interdiction ne menace pas seulement les individus, mais aussi l'économie dans son ensemble. Quelles conséquences pour les entreprises qui dépendent des livraisons, les travailleurs qui ont besoin de se déplacer ou qui ne peuvent pas travailler depuis leur domicile ? Quant au tourisme, un secteur vital pour Bruxelles, il pourrait également en souffrir, car les visiteurs pourraient choisir d'aller ailleurs plutôt que de naviguer (avec une grosse rallonge pour pallier au manque de bornes…) dans le labyrinthe des règles de circulation de la ville…
Un appel à la réflexion et à la révision
Avec une audace remarquable, la majorité autoproclamée « progressiste » se cache derrière le bien-être et le respect de l'environnement pour justifier ses décisions lunaires. Ces brillants esprits, dans leur tour d'ivoire, semblent avoir oublié les Bruxellois ordinaires qui subissent les conséquences de leurs caprices écolos. Sous prétexte de sauver la planète, ils ont réussi à aliéner une grande partie de la population. Bravo ! Le vrai « progressisme » ne consiste pas à imposer des décisions sans réflexion ni consultation. Bruxelles, ma belle, tu mérites franchement mieux que ces pseudo-écologistes et leurs politiques déconnectées…